L’Association Nationale des Greffiers Haïtiens maintient sa grève pour contraindre le gouvernement à répondre à leurs revendications, notamment pour une révision salariale. Le président de l’ANAGH, Martin Ainé, exprime son indignation envers le mépris qu’ils estiment subir de la part de la ministre de la justice, Emmelie Prophète.
Cette poursuite de la grève souligne les tensions grandissantes entre les greffiers et les autorités, mettant en évidence les défis persistants auxquels est confronté le secteur judiciaire haïtien. L’appel de l’ANAGH révèle un profond sentiment d’injustice et d’ignorance de leurs revendications légitimes.
La résolution de cette impasse devient urgente pour restaurer le bon fonctionnement de la justice en Haïti, mettant l’accent sur la nécessité d’un dialogue constructif entre les greffiers et le gouvernement pour trouver des solutions adéquates à leurs préoccupations.