La France a salué les sanctions européennes visant trois chefs de gangs haïtiens, adoptées en réponse à l’escalade de la violence et aux violations des droits humains en Haïti. Ces mesures incluent un gel des avoirs et une interdiction de voyager au sein de l’Union européenne (UE).
Dans un communiqué, le ministère français des Affaires étrangères a qualifié ces sanctions de « signal de fermeté » et rappelé que Paris avait initié cette démarche.
Les trois individus sanctionnés sont :
- Jonel Catel, chef du gang Terre Noir
- Gabriel Jean-Pierre, chef de la coalition GPep
- Ferdens Tilus, chef du gang Kokorat San Ras
Ils sont accusés de crimes graves, notamment vols, enlèvements, extorsions, meurtres et viols, qui alimentent l’instabilité en Haïti.
En prenant ces mesures, l’UE démontre son engagement à lutter contre l’impunité et à promouvoir la stabilité en Haïti, un effort soutenu par Paris et la communauté internationale.