Les États-Unis ont donné leur accord, le mardi 13 août 2024, pour une vente d’armement d’une valeur de 20 milliards de dollars à Israël. Cette décision comprend la livraison de 50 avions de chasse F-15, ainsi que des armes et munitions destinées à renforcer les capacités de défense d’Israël face à des menaces régionales, notamment celle d’une éventuelle attaque de l’Iran.
Cette vente, qui inclut également 33 000 munitions pour tanks et 50 000 obus, a suscité des critiques de la part des organisations de défense des droits humains, qui s’inquiètent des implications pour la situation à Gaza. En réponse, l’administration Biden a réaffirmé son appel à un cessez-le-feu et à la protection des civils, comme l’a souligné l’ambassadrice américaine auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield. Malgré cette approbation, les États-Unis continuent de promouvoir des efforts diplomatiques pour minimiser les impacts sur les civils et encourager la paix dans la région.