Le Syndicat des Employés de la Loterie de l’Etat Haïtien (SELEH) appelle les acteurs du secteur des jeux de hasard et d’argent en Haïti à envisager le financement d’une 2ème prise sur la Rivière Massacre.
La décision du président dominicain d’ordonner la fermeture de la frontière, à cause de la construction en Haïti, d’un canal sur la rivière massacre, suscite de nombreuses réactions en Haïti.
Des acteurs de plusieurs secteurs se disent solidaires des paysans du Nord-Est de réaliser cet ouvrage afin d’irriguer la plaine de Maribaroux.
Le Syndicat des Employés de la Loterie de l’Etat Haïtien (SELEH) appelle les acteurs du secteur des jeux de hasard et d’argent en Haïti à envisager le financement d’une 2ème prise sur la Rivière Massacre.
Cela, dit le SELEH dans une note de solidarité, leur permettra d’irriguer une bonne partie des plus de 700 hectares de terre de la plaine de Maribaroux qui resteront sans irriguer malgré la construction de la 1ère prise du côté d’Haïti dont la population est prête à finaliser.
Le SELEH salue et applaudit la bravoure et l’esprit patriotique des habitants du Grand Nord spécialement ceux de Ouanaminthe (Nord-Est) qui ne reculent pas face aux menaces farfelues du groupe qu’il assimile à des « néonazis de la République Dominicaine emmenés par le dérangé Abinader ».
Le SELEH attire l’attention de tout un chacun qu’après la nécessité de sécuriser notre pays, la décision d’Abinader d’interdire le commerce avec Haïti est le deuxième plus grand catalyseur pouvant favoriser de nouveaux investissements dans le pays.