La saga judiciaire prend un tournant plus sombre alors que le juge Al Duniel dimanche maintient la pression avec des mandats d’amener émis contre d’anciens hauts dignitaires de l’État. Parmi les noms épinglés figurent Wilson Laleau, Marie Carmelle Jean-Marie, Daniel Dorsainvil Christophe, et Rony Célestin, des personnalités qui ont brillé par leur absence lors de l’invitation du magistrat cette semaine.
L’accusation de détournement des matériels du CNE plan au-dessus de ces anciens responsables, donnant une dimension politique à une affaire déjà épineuse. Leur refus de répondre à l’invitation du juge soulève des questions sur l’ampleur des secrets qu’ils pourraient détenir, alimentant les spéculations sur ce qui pourrait être révélé dans les prochains actes de ce drame juridique.
Pendant ce temps, l’ancien député de Cayes/Ile-à-Vache, Clauvis Obas, impliqué dans le même dossier, refuse de rester en retrait. Il annonce avoir fait appel de la décision du juge qu’il avait récusé, ajoutant un nouveau chapitre à une affaire déjà complexe. Les motifs de cet appel et ses implications sur l’enquête à venir restent dans l’ombre, laissant présager des développements juridiques encore plus captivants.
Alors que les protagonistes clés semblent résolus à se défendre, l’affaire de détournement des matériels du CNE s’intensifie, révélant un réseau complexe de relations politiques et de rivalités.