La Force de Réflexion et d’Action sur la Problématique du Logement (FRAKA) lance un cri d’alarme en dénonçant l’aggravation de la situation des Haïtiens, en particulier des survivants du séisme, 14 ans après la tragédie de 2010. FRAKA pointe du doigt plusieurs personnalités et entités, accusant Bill Clinton, Jean Max Bellerive, le régime PHTK, ainsi que les ONG internationales d’avoir mal géré les fonds décaissés en faveur du pays après le tremblement de terre.
L’organisation affirme que malgré les fonds considérables répartis à la reconstruction et à la résolution des problèmes de logement, la situation s’est détériorée au lieu de s’améliorer. Les survivants du séisme continuent de vivre dans des conditions précaires, faisant face à une pénurie persistante de logements décents.
FRAKA ne mâche pas ses mots en pointant du doigt des personnalités clés, dont l’ancien président américain Bill Clinton, l’ancien Premier ministre haïtien Jean Max Bellerive, le régime politique PHTK, ainsi que certaines ONG internationales. Ces accusations mettent en lumière les frustrations croissantes de la population envers la gestion des fonds destinés à la reconstruction et à l’amélioration des conditions de vie.
Cette déclaration de FRAKA souligne également l’importance de la transparence dans l’utilisation des fonds alloués à la reconstruction post-sismique. Les débats sur la responsabilité et la reddition de comptes risquent d’accentuer les tensions politiques et sociales déjà présentes en Haïti. Restez à l’écoute pour suivre l’évolution de cette situation critique.
